L’auto-édition. Kit de survie n°3 : la relecture

Si vous ne relisez pas votre ouvrage (y compris un mois après la dernière relecture), ne publiez pas. Si vous n’utilisez pas de correcteur orthographique, ne relisez pas (et donc, ne publiez pas :). A ce sujet, on ne peut que conseiller un correcteur avancé car les traitements de texte du marché ne corrigent pas le style. L’auteur de ces lignes utilise Antidote sans abonnement (au 18 août 2022, l’éditeur de ce logiciel le proposait en ligne à 119 euros). Tout correcteur avancé restera votre meilleur investissement.

Lorsqu’on investit dans un correcteur avancé, ne pas attendre d’avoir écrit 150 pages avant de l’utiliser. Il proposera des améliorations du style d’écriture avant que vous écriviez la suite. En fait, relancer un tel correcteur après la rédaction d’un nouveau chapitre n’est pas un luxe.

Pour faciliter la relecture, optez pour une police de caractère agréable même si la plateforme de distribution la modifiera. L’auteur de ces lignes utilise la police Georgia : elle lui donne au moins l’impression d’être écrivain.

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